L’intégration du réflexe de paralysie par la peur, en tant que réaction cellulaire, est fondamentale pour l’intégration de nombreux autres réflexes. En lien avec les réflexes faciaux dont la présence peut affecter l’expression langagière, il détermine la qualité de la connexion de l’être à lui- même et au monde qui l’entoure